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Le parti organisait aujourd’hui un séminaire de travail, en vue de préparer les élections municipales de 2026.

Derrière la porte du Haut-Commissariat : le ministre des Outre-mer, les signataires de l'accord de Bougival mais aussi les représentants du sénat coutumier

Jacques Lalié s’appuie sur une ordonnance du conseil d’Etat rendue la semaine dernière qui enjoint le haut-commissaire de prendre les mesures utiles pour lui permettre de réintégrer chacun de ses mandats notamment celui de président de la province des îles et de membre du congrès jusqu’à ce que le conseil d’Etat statue au fond sur la question de l’exécution provisoire de sa peine.

Le plan des réformes budgétaires, sociales et fiscales visant à rétablir l’équilibre des finances publiques de la Nouvelle-Calédonie, a été adopté, au terme d'une très longue séance du congrès et après de très vifs débats.

Un congrès qui devra confirmer le rejet clair et sans ambiguïté du projet d’accord signé à Bougival par la délégation qui n’avait aucun mandat pour le faire.

Matthias Waneux a protesté contre le retour de Jacques Lalié dans l'hémicycle du boulevard Vauban.

Le ministre des outre-mer s'est exprimé sur les réseaux sociaux, à propos des différentes réactions qui ont suivi le retour des délégations de signataires du projet d’accord de Bougival.

L’Union Calédonienne devait faire le bilan de l'ensemble des séquences qui se sont déroulées ces dernières semaines.

Dans un communiqué, le congrès précise que Philippe Gomès et Philippe Michel demeurent membres du congrès de la Nouvelle-Calédonie dans l’attente de la décision du Conseil d’État au fond, et que Jacques Lalié devra être réintégré prochainement dans les effectifs de l’assemblée.

L’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité ne peut pas être effective tant que le conseil constitutionnel n’a pas statué sur la question prioritaire de constitutionnalité déposée par l’ancien président de la Province des Iles à la suite de son procès.

Les chiffres pointent une augmentation de faits violents par rapport à 2023.

Ce que nous avons signé n’est qu’un projet d’accord. Il revient au bureau politique de décider de la suite.